C’est vous qui le dites …
Ils ont lu « Comme je t’imagine »
Ils reviennent à moi, certains, les premiers, après avoir lu « Comme je t’imagine », ils reviennent avec un joli regard de reconnaissance. Ils ont été émus ces lecteurs par ma prose, pas ces histoires réelles ou imaginaires (et on s’en fout de savoir si ces histoires je les ai vécues ou non comme dit l’un d’eux). D’autres lecteurs suivront, vous peut être, et arriveront ici sur cette page réservée aux commentaires car qui, mieux que vous peut faire la promotion de cet ouvrage ?
J’ai mêlé à ces premiers commentaires des extraits de « Comme je t’imagine ».
Pour l’acheter une ligne dédiée 06 14 78 38 36, vous laissez vos coordonnées et on vous rappelle, ou bien sur ce blog dans la partie qui vous est consacrée pour communiquer avec moi, ou encore via mon mail à Mallie.dominique@orange.fr
Rapide à lire
Savoureux
Parfois déconcertant
De vraies trouvailles
Style alerte et personnel
J’ai ri et pleuré même
Sylviane
» Lire Cosmos demande beaucoup de concentration. J’en suis au passage sur les anguilles. Leur façon de s’enrouler sur elles-mêmes, de se torsader quand elles sentent qu’elles vont mourir, qu’on les a tirées de l’eau, qu’elles cherchent l’eau mais bernique, c’est l’air qu’elles aspirent.
Et l’air, pour une anguille, c’est la mort. Se rouler en boule est alors la seule solution envisageable, rassembler ses forces, retenir la vie et la perdre dans le même temps presque, se nouer, se dénouer et recommencer jusqu’à l’épuisement «
Je viens de terminer ton livre, j’ai beaucoup aimé la sensibilité de ton écriture, tu m’as fait rire mais aussi pleurer.
Jean louis
« Il parle avec elle pendant que l’autre là dégouline, la tête en bas. C’est le sang qui dégouline du cône et pendant ce temps ils parlent du temps, de la pluie qui tarde à venir, de Untel qui est mort«
Dominique, j’ai bien reçu votre livre et l’ai lu avec grand plaisir dans la soirée. Je ne suis pas revenu vers vous car je vous savais dans l’activité, puis, mon tour est venu… Êtes-vous une prof qui écrit ou un écrivain qui enseigne ? Vos histoires vraies ou pas, on s’en moque, secrètes ou impudiques, gaies ou tristes, font tour à tour sourire, réfléchir ou voyager. Timidité faussement dissimulée, fantasmes libérés, tendresse, sensibilité et sensualité sont omniprésents. Toujours en recherche d’amour et de surprise. Alors j’ai lu votre livre comme je regarde le cinéma de Lelouch. Vivre, ne s’attendre à rien, être prêt à tout et ne pas hésiter à se mettre en danger ou à se dévoiler. C’est là que l’on se sent le plus vivant. Il faut oser s’exposer. Le plaisir de vous lire est réel, félicitations
Yannick
» Comment ils se voyaient mourir, aimeraient même, ils y avaient pensé entre amis. Forcément, la soixantaine passée, on y réfléchit davantage. »
Dominique merci pour cette lecture, j’ai été touché comme rarement. Vous parvenez à aborder au travers d’histoires qui semblent anodines des territoires sensibles. C’est beau et très émouvant en sus d’être très bien écrit.
Gérard
« Il y a comme un vide qui se fait en elle, un creux là au milieu de la poitrine et les jambes qui tremblent avec. Et les souvenirs qui remontent«
Rien de ce que vous écrivez ne m’a laissée insensible, j’ai ri, pleuré, ri, souri… merci pour ce beau livre et longue vie à lui.
Anne
« Il n’aura jamais eu de voix, de premier cri de victoire en arrivant au jour, n’aura pas senti les mains de maman sur lui, ses caresses, n’aura pas tété goulument son sein. Il n’aura pas entendu sa voix autrement que de l’intérieur, en bruits sourds, en syllabes et en mots qui seront restés incompréhensibles«
Et puis parfois on lit quelque chose et ce « quelque chose « laisse une trace pour toujours en soi.
Marie-Françoise
« A l’EHPAD très vite on lui a mis une couche. C’est juste qu’il pissait un peu au lit la nuit depuis quelque temps mais tout de même… avant il était danseur de Tango. Avant«
Lu d’une traite avec une grande émotion.
Sylvie
« Je pense qu’on passe autant de temps à regarder sa vie se faire qu’à la vivre«
Votre livre est un cri d’amour aux hommes. Il y a de la tendresse, de la pudeur, de la légèreté aussi. De belles rencontres même si parfois cela n’a duré que le temps d’un regard réel ou imaginaire
Christine
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Je dis ça, je dis rien !
Hé ho du blog ! Il y a quelqu’un ?
25 commentaires
Michelle
Un livre que j’ai adoré, tout en élégance dans le style et les récits, dans la suggestion , un bon moment de lecture !
Aurélia Wolownik
Parce que c est lui ( le titre ) parce que c est elle ( l auteur )
J’avais donné l’adresse du voisin qui est toujours sur place en journée pour être certaine de le recevoir encore plus vite sans passer par la case « la poste vous informe que votre colis vous attend bla bla bla ».
J étais pressée de le lire tellement le titre m avait plu : comme je t imagine dans mon petit cœur à moi , c est un écho à « je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant » ou à Véronique Sanson quand elle chante « comme je l’imagine, il sourit d’un rien
Comme je l’imagine, il pense bien
Comme je l’imagine, il pourrait même
Être celui qui sera l’homme que j’aime»…. bref très curieuse de lire de quoi il serait fait le il imaginaire … , ET comme je l imagine c était aussi mon rendez vous avec elle , l auteur(e) dont j avais apprécié le dernier livre , le dernier blog , la dernière photo , le dernier statut sur Facebook …. genre DEUX bonnes raisons qui me faisaient trouver le temps long au voyage du livre .
C est bon , il est là … dédicace très personnelle , genre rien que pour moi wahou … vite ,toutes les corvées après le boulot , et son livre et moi , on rejoint le canapé de la bibliothèque , avec les chats et le chien . Des portraits de masculins à travers son œil de femme sensible , connaisseuse , avertie … une galerie qu’ elle caresse avec tendresse et bienveillance mais pas que … non ce n est pas aussi réducteur que ça , j y vois quelque chose de plus profond : des rencontres rieuses , compliquées , certaines douloureuses mais … hantées toutes par le même motif : l illusion ? Ou la désillusion ? Oui les réalités n ont pas été à la hauteur de ce trop grand cœur de femme qui accueille chaque fois ces masculins avec le même talent et le même enthousiasme de l’amant au fœtus , en passant par l ami….
on y apprend qu elle est locataire , comme pour ne pas se poser .. non bien sûr c est pour être encore plus libre , plus disponible… encore plus prête à tout … son mot italien préfèré doit être andiamo … elle pourrait dire aussi « je me suis trompée quelque fois mais j ai aimé » et elle aurait carrément raison … alors plus qu’ illusion … c est espoir tout simplement qui hante toutes ces rencontres ..en tous cas c est ce que j’y ressens avec de la force aussi pour traverser certains chapitres sans tomber dans le style larmoyant …. J’en suis au trois quart , j aime la forme , le fond … mais j ai envie du thé sur le samovar de la cuisine . Je pose le livre .. je pense aux coquillages , vous savez ces gros coquillages qui racontent encore le bruit des vagues quand on les porte à l’oreille … étrange idée en ce soir de plein hiver …je reviens avec le thé et je termine ma lecture . Et puis à la fin , je pense à Jules Renard . Oui c est ça l’idee du coquillage !!Ce livre c est son coquillage qui laisse bruire comme une rumeur d amour … « cette femme avait tant aimé que lorsqu on s approchait trop d’elle on écoutait au fond de son oreille ce délicat coquillage bruire une rumeur d amour »… Par delà les masculins , c est son féminin qui a retenu toute mon attention … au nom des muses pères ,fils , amants , moi je te salue grande madonne que tu es 😉💋
Les billets de Madame.com
Le plaisir de lire tes mots, Aurélia, une rencontre qui n’en est pas une ou si peu, ou tant … on ne sait plus. Le plaisir d’être femmes et de partager une même sensibilité, des échos qui se font, des images qui défilent. Oui, tu as raison c’est moi tout ça et puis pas moi car les récits ne sont pas toujours inscrits dans ma vie, mais si proches néanmoins par l’écriture et mon imaginaire qui les a fait naitre. Et puis c’est toi qui vois si juste. Parfois on se retourne sur sa vie ou sur la vie et de ce regard qu’on jette en arrière surgissent des visages qui hier encore étaient tout proches et qui ne demandent qu’à revenir le temps de l’écriture. Le masculin nait toujours du féminin. Il y tant dans le silence de tes points de suspension… Entre les phrases. Merci pour ce beau cadeau que tu m’as fait aujourd’hui ALORA ANDIAMO !
thierry
Belle Dominique
J’ai fini le livre.
A partir de la 41e, qui est la meilleure, celles que j’ai préférées: le retraité surbooké de La Baule et le médecin. Et puis l’épilogue.
Le livre est réussi.
Reste maintenant à en faire la promo.
Dominique
Merci Thierry, autant écrire me va comme un gant car c’est tout à la fois une respiration, un travail, une porte ouverte à mon imaginaire, autant faire promotion me laisse perplexe en dehors de mes amis proches … 🙂
François
Voilà fini ! J’ai beaucoup aimé toutes ces histoires qui ont en commun le masculin. Vous êtes étonnante chère Dominique, surprenante, déroutante, vous nous baladez au gré de vos mots, des phrases et nous surprenez par vos chutes; Joli regard sur la vie que le vôtre et une capacité d’observation rare. Merci
Les billets de Madame.com
J’aime en effet dérouter mes lecteurs, j’aime aussi qu’on erre dans mes textes. L’errance m’est chère, un peu partout à vrai dire… merci !
Antoine75
J’espère que ce livre s’ouvrira vers un grand lectorat. C’est un livre dans l’air du temps qui parle de vulnérabilité, qui parle de nous, de vous, d’eux écrit dans une langue qui claque parfois, douce à d’autres endroits. Tous ces portraits de masculin vus au travers d’un détail, d’une attitude, d’une habitude, tous ces moments saisis et imaginés sont autant de portes ouvertes vers les autres. J’aime vos qualités d’observatrice, la manière dont à partir d’un petit rien, d’une phrase jetée comme ça, l’air de ne pas y toucher, vous atteignez notre sensibilité en découvrant la vôtre; Où êtes vous Dominique dans ces récits ? . Merci, je ne peux que le recommander. Bien cordialement et admirativement . Antoine
Les billets de Madame.com
Merci Antoine, je suis heureuse que ce livre vous plaise et touchée par votre message.
Anne-sophie
Merci Dominique, j’ai lu votre deuxième livre avec beaucoup d’intérêt et d’émotion. Car il parle au coeur en plus de l’esprit.
Les billets de Madame.com
Oui, ce sont les retours que j’ai, beaucoup d’émotions. C’est toujours très agréable de lire que ce qui a été écrit a été reçu avec la même qualité
Jean-Michel
Un joli petit livre, bien relié, très chouette dans sa présentation mais surtout dans ce qui est raconté. On passe d’un chapitre à l’autre, dépaysés, attendris, émus, souriants. Rien ne se ressemble et tout s’assemble . Merci pour ce joli moment de lecture qui fait du bien tant c’est humain, pour ces portraits saisis dans l’instant. Vous êtes une fine observatrice de la vie Dominique
Les billets de Madame.com
Merci d’avoir su considérer cette unité de l’ensemble qui pourrait paraitre disparate tant ces récits sont différents, y compris dans le style. Oui je suis une contemplative en effet 🙂
Carole
Entre récits intimes et plus imaginaires, j’ai une tendresse particulière pour ce passage où vous évoquez cet enfant mort-né. Les récits sont très plaisants et succincts , ce qui les charge en signification. Un joli livre dans lequel on a grand plaisir à se promener.
Les billets de Madame.com
Ce texte me tient à coeur en effet. Toujours délicat de traiter avec dérision un sujet aussi crucial
Sophie
Quel beau livre Dominique, je ne manque pas de le recommander, à la fois léger, toujours dans une dérision un peu mélancolique. J’ai vraiment beaucoup aimé
Les billets de Madame.com
Vous voyez juste Sophie, je ris beaucoup et parviens à rire d’un peu tout mais j’ai en moi un fond mélancolique qui surgit parfois dans les écrits. Merci de le recommander
Array
A la fois un humour léger avec des belles chutes et à la fois de la gravité avec une fin en suspend.On a envie d’en savoir un peu plus assez souvent, car l’histoire ne fait que commencer. C’est un livre qui ressemble à l’auteur que j’ai l’honneur et le plaisir de connaître un peu. Un réel plaisir de lecture pour un homme qui aurait bien aimé être couché dans le livre.
Les billets de Madame.com
Il me semble pourtant jeune homme que vous y tenez votre place, difficile de passer à côté de vous en vous ignorant 🙂 merci pour ce commentaire qui me touche. Vous étiez mon premier lecteur alors même que l’ensemble n’était qu’en gestation et j’ai une tendresse particulière pour le texte qui vous est consacré 🙂
Marie
J’ai adoré et je vous en commande trois autres pour offrir à mes amis . Merci Dominique d’être aussi accessible pour qu’on puisse commenter votre livre. Marie
Les billets de Madame.com
Merci Marie, j’ai bien reçu les adresses postales et ai tout envoyé. C’est un plaisir de communiquer avec mes lecteurs
Bernard
J’ai adoré les intermèdes. Cette désinvolture de l’écrit dans une apparente spontanéité, cette dérision omniprésente et les chutes souvent surprenantes. Un livre qui laisse une trace en soi, une petite musique
Les billets de Madame.com
Les intermèdes je les aime aussi beaucoup, il faut dire que j’aime tout ce qui relève de l’entre-deux : les parenthèses par exemple, je pourrais en ouvrir plusieurs à la suite. Il en va ainsi quand j’écris mais aussi dans ma vie 🙂
Alain
Quel beau texte. On passe d’une histoire à une autre, c’est léger et profond, tendre et savoureux. On rit, on est ému et parfois jusqu’aux larmes. On se reconnait aussi. Ce livre mérite une belle diffusion et la reconnaissance. Vous avez un style, une plume comme on dit. Merci pour ce délicieux moment de lecture. Alain
Les billets de Madame.com
Merci Alain, je suis touchée par vos compliments