De moi à vous

Les mots… roses

Merci d’avoir participé à ce petit questionnaire et par là même de relancer le blog dans son interactivité.

On a retrouvé le chemin d’une normalité, heureux de reprendre le travail, impatients même de le faire ou de s’adonner à ce qui nous passionne, dans la recherche d’un équilibre lié à de nouvelles activités ou la redécouverte d’activités qui d’un coup nous remplissent.

Un recentrage en somme avec des rêves de fuite, d’ailleurs, mais où ? Des rêves d’amours qui durent car l’amour comme l’art sont pour beaucoup ce qui nous fait vibrer, un refuge, au même titre que la famille, les enfants enfin revus, qui vont de l’avant.


Les mots on les veut roses. On veut croire en dépit de colères qui perdurent, de râleries dans son coin ou plus ouvertement, en un avenir meilleur. Bêtise, incompréhension, incohérence, peur et manipulation sont autant de termes qu’on écarterait volontiers pour leur préférer REVOLTE . Ne plus entendre, ne plus voir tout en ayant conscience de.

On pense aux enfants qui mettent leurs mains sur les oreilles , dans cette attitude de celui qui dit  » Stop, taisez vous ! « 
Les maux sont là mais l’avenir on le veut  » rose  » à l’image de ce mois d’octobre. On fabrique dans son coin un havre de paix, on cultive notre jardin au propre et au figuré. On se voit Pizzaiolo dans un paradis de soleil, tout bazarder, vivre d’amour et d’eau fraiche.


Aurore est née quelque part et avec elle c’est comme un vent léger qui s’est levé, un homme m’a prise entre ses bras et c’est la vie qui est repartie, le livre que l’on tient dans nos mains nous a emportés dans un voyage immobile, les fou-rire sont toujours là. Alors oui, la morosité nous a un peu gagnés mais l’avenir on veut l’imaginer meilleur et peut être bien radieux et c’est à ça qu’on s’accroche, à relativiser dans un cercle d’amis qui s’est restreint, à s’entourer de gens aimants et proches, peut être pas physiquement mais dans une proximité réinventée.